PRESENTATION.
Marcel Pagnol, lors de l'inauguration d'une école "Marcel Pagnol" :
"Je suis très honoré d'inaugurer une école
qui porte mon prénom et le nom de mon Père..."
Je le pensais éternel.
L'éternité ne dura pas.
Mes grands-parents maternels tenaient un petit café à Brest. Attentionnés. Nous habitions de petits appartements du quartier Saint-Martin, dans Brest bombardé où, un peu partout, des baraques en planches remplaçaient les maisons détruites.
Je devais avoir aussi une maman et un papa puisque mes grands-parents me disaient d'être sage et de bien travailler pour leur faire plaisir. Ils étaient loin.
Depuis ces lointains, ils commandèrent une maison neuve dans un nouveau quartier. En attendant qu'ils reviennent, mes grands-parents, Parrain et moi y avons emménagé. Mes parents n'étaient encore que des petites feuilles de papier avec des lignes et des mots qu'il me fallut apprendre à lire. Les enveloppes venaient d'un pays marqué Viet Nam sur les timbres. Les lettres racontaient que tout allait bien. Ils avaient des amis de leur âge. Leurs enfants près d'eux.
Quand ils étaient partis je n'avais pas l'âge des premiers souvenirs.
Quand ils revinrent, c'était trop tard. Le p'tiot s'était construit.
Sans y mettre les formes ni le temps, le gendre s'imposa sur ses beaux-parents. Sur mon grand-père. Vous êtes ici chez moi !
Parrain, puis Grand-Père s'en allèrent.
Le plus tôt possible, je filai à Paris. Ma grand-mère me glissa discrètement un petit papier avec un nom et une adresse.
Qui allaient tout bouleverser !
La suite ?
Elle se lit dans l'ordre chronologique, de 1 à12.
Alors bonne lecture
Si vous voulez réagir :http://www.amisdallegre.org/?rub=ecrire
Mes grands-parents maternels tenaient un petit café à Brest. Attentionnés. Nous habitions de petits appartements du quartier Saint-Martin, dans Brest bombardé où, un peu partout, des baraques en planches remplaçaient les maisons détruites.
Je devais avoir aussi une maman et un papa puisque mes grands-parents me disaient d'être sage et de bien travailler pour leur faire plaisir. Ils étaient loin.
Depuis ces lointains, ils commandèrent une maison neuve dans un nouveau quartier. En attendant qu'ils reviennent, mes grands-parents, Parrain et moi y avons emménagé. Mes parents n'étaient encore que des petites feuilles de papier avec des lignes et des mots qu'il me fallut apprendre à lire. Les enveloppes venaient d'un pays marqué Viet Nam sur les timbres. Les lettres racontaient que tout allait bien. Ils avaient des amis de leur âge. Leurs enfants près d'eux.
Quand ils étaient partis je n'avais pas l'âge des premiers souvenirs.
Quand ils revinrent, c'était trop tard. Le p'tiot s'était construit.
Sans y mettre les formes ni le temps, le gendre s'imposa sur ses beaux-parents. Sur mon grand-père. Vous êtes ici chez moi !
Parrain, puis Grand-Père s'en allèrent.
Le plus tôt possible, je filai à Paris. Ma grand-mère me glissa discrètement un petit papier avec un nom et une adresse.
Qui allaient tout bouleverser !
La suite ?
Elle se lit dans l'ordre chronologique, de 1 à12.
Alors bonne lecture
Si vous voulez réagir :http://www.amisdallegre.org/?rub=ecrire
<><><>
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire